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Ouverture par le maître de cérémonie -
Observations de bienvenue par le représentant de l’UNESCO -
Présentation du Forum par Jean-Paul Adam, Directeur de la Division de la technologie, des changements climatiques et de la gestion des ressources naturelles (CEA) -
Dignitaires et personnalités importantes invitées -
Vera Songwe, Secrétaire générale adjointe de l’ONU et Secrétaire exécutive de la CEA -
Président sortant : Amon Murwira, Ministre de l’enseignement supérieur, de l’innovation, de la science et du développement technologique (Zimbabwe) -
Nouveau Président : Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, Ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique (Congo) |
| Évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre des recommandations du Forum À ses première et deuxième sessions, le Forum africain a adopté plusieurs recommandations et messages clefs pour permettre aux États membres de tirer parti de la science, de la technologie et de l’innovation pour atteindre les objectifs de développement durable. Les messages clefs de la première session comprenaient : l’inadéquation des infrastructures dures et douces en matière de science, de technologie et d’innovation ; l’insuffisance des investissements des pays africains dans la science, la technologie et l’innovation ; l’importance d’exploiter l’esprit d’innovation de la jeunesse africaine ; la nécessité d’élaborer des politiques et des stratégies pertinentes et réalistes en matière de science, de technologie et d’innovation ; et la nécessité essentielle de promouvoir la collaboration intraafricaine dans le domaine de la science, de la technologie et de l’innovation. À sa deuxième session, le Forum a lancé un appel aux pays : à savoir renforcer les capacités dans le domaine des sciences fondamentales et de l’ingénierie ; accroître sensiblement les investissements dans la recherche et le développement ; harmoniser les compétences essentielles au niveau national afin de répondre efficacement à un avenir de plus en plus axé sur la science, la technologie et l’innovation ; mettre en place des pôles d’innovation, des incubateurs et des centres d’équipement communs ; élaborer une stratégie qui coexiste avec la quatrième révolution industrielle, tout en tirant parti des technologies établies afin de rattraper le retard et de répondre aux aspirations du Programme 2030 et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine ; renforcer la collaboration et les partenariats aux niveaux continental et régional ; tirer les leçons des expériences d’autres régions afin de réaliser des gains importants en matière de développement durable et inclusif ; adopter et promouvoir les technologies des énergies renouvelables ; et revoir les programmes d’enseignement supérieur afin de produire des biens et des services. De plus amples informations sont disponibles dans les rapports des première et deuxième sessions du Forum, qui se sont tenues en 2019 et 2020 respectivement. Présentations (10 minutes chaque)
CEA
Afrique du Sud
Congo
Sénégal
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| Concertation de haut niveau sur la conception, la mise en œuvre et l’évaluation des politiques de la science, de la technologie et de l’innovation pour la réalisation des objectifs de développement durable
Le Programme d’action d’Addis-Abeba a souligné l’importance d’appliquer au niveau national des politiques de la science, de la technologie et de l’innovation qui font de la science, de la technologie et de l’innovation des moteurs et des catalyseurs pour la réalisation du Programme de développement durable à l’horizon 2030. De même, la Stratégie 2024 de l’Union africaine pour la science, la technologie et l’innovation en Afrique, qui fait partie de l’ensemble des mesures de la première phase de mise en œuvre de l’Agenda 2063, a fait de l’élaboration de politiques de la science, de la technologie et de l’innovation l’un des quatre piliers de cette entreprise. L’Équipe spéciale interinstitutions sur la science, la technologie et l’innovation pour la réalisation des objectifs de développement durable et le groupe de dix hauts représentants nommés par le Secrétaire général ont lancé l’initiative de la feuille de route pour la science, la technologie et l’innovation aux fins de la réalisation de ces mêmes objectifs.
Ce segmentse concentrera sur les outils et les pratiques auxquels les pays ont recouru pour concevoir, mettre en œuvre et suivre leurs politiques nationales et régionales de la science, de la technologie et de l’innovation, ainsi que sur les espaces ou les flexibilités aménagés dans ces politiques pour permettre l’intégration des dimensions régionales et internationales et pour répondre aux nouveaux défis à mesure qu’ils se présentent, sachant que les politiques ont un horizon de 5 à 20 ans. La séance examinera aussi les moyens par lesquels les pays pourraient concevoir, mettre en œuvre, suivre et évaluer plus efficacement leurs politiques de la science, de la technologie et de l’innovation.
Présentations
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Vers un cadre de conception et de mise en œuvre de la politique de la science, de la technologie et de l’innovation – CEA -
Tableau de bord de l’éducation, de la science, de la technologie et de l’innovation pour l’Afrique – Robert Ridley Panellists
Représentant du Département des affaires économiques et sociales
Représentant du groupe de l’Initiative de la feuille de route
Représentant de la SADC
Représentants du Congo, de l’Éthiopie, du Ghana et de l’Ouganda
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| Segment parallèle sur les technologies émergentes au service de la compétitivité régionale et du développement durable
Les technologies émergentes offrent aux pays en développement des possibilités uniques de rattraper les pays chefs de filer et d’améliorer le niveau de vie par des moyens que n’offrent pas les technologies matures et éprouvées. Les technologies émergentes bouleversent les modèles et systèmes commerciaux existants (comme le font les technologies sans fil et les technologies énergétiques de pointe), ouvrent de nouveaux créneaux technologiques (tels que les transferts d’argent par téléphone mobile, qui change la donne dans les pays pauvres mais ne constitue qu’un simple complément dans les pays plus avancés) qui permettent aux pays moins développés de sauter les anciennes technologies (telles que les charrettes à traction animale, le téléphone fixe, les centrales thermiques) et réduisent les barrières à l’entrée grâce au co-apprentissage, à la fois par les pays développés et par les pays en développement (des mesures telles que la gouvernance des cybermonnaies et la taxation des entreprises numériques sont mises en œuvre tant dans les pays riches que dans les pays pauvres). Les pays moins développés, toutefois, sont confrontés au défi de la limitation des atouts intellectuels, des ressources financières et des infrastructures clefs, ainsi que des institutions nécessaires pour acquérir, apprendre, utiliser, gérer et améliorer encore plus les technologies nouvelles et émergentes.
Les intervenants s’appuieront sur l’expérience nationale, régionale et internationale pour traiter, entre autres, les sujets suivants :
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Comment l’Afrique peut-elle se positionner pour réaliser les promesses des technologies émergentes, en promouvant le développement industriel et la croissance économique (objectif 8), en réduisant l’insécurité alimentaire (objectif 2), en réduisant les inégalités (objectif 10) et en réduisant la dégradation de l’environnement (objectif 13) ? -
Comment l’Afrique peut-elle renforcer au mieux les capacités humaines, industrielles et de gouvernance nécessaires pour tirer part des technologies émergentes ? -
Quel rôle doivent jouer les institutions d’éducation, de recherche et de développement, de même que le secteur privé ? -
Quelles sont les meilleures possibilités qui s’offrent à l’Afrique et comment les pays africains peuvent-ils déterminer leurs priorités ? -
Face à la multiplicité des technologies et à leurs interdépendances, et compte tenu des capacités limitées des ministères nationaux, comment les pays africains peuvent-ils concevoir des stratégies nationales ou régionales intégrées qui répondent aux exigences des technologies émergentes et qui soient inclusives ? |
| L’avenir est intelligent : accent sur l’intelligence artificielle
Présentations:
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L’intelligence artificielle pour une production de pointe -
L’intelligence artificielle pour la santé -
L’intelligence artificielle pour la création d’emplois et de richesse Intervenants
Deux représentants gouvernementaux
Deux représentants du secteur
Deux représentants d’autres groupes d’intérêt
L’avenir est nano : accent sur les nanotechnologies
Présentations
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Les nanotechnologies dans l’agriculture -
Les nanotechnologies pour la santé -
Les nanotechnologies pour l’énergie Intervenants
Deux représentants gouvernementaux
Deux représentants du secteur
Deux représentants d’autres groupes d’intérêt
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| Messages clefs de la journée |
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| Concertation de haut niveau sur la promotion des universités entrepreneuriales en Afrique pour permettre au continent de réaliser le Programme 2030
À ses première et deuxième sessions, le Forum africain sur la science, la technologie et l’innovation a souligné l’importance de la promotion de l’innovation et de l’esprit d’entreprise dans l’enseignement supérieur en Afrique. En outre, l’enseignement supérieur est considéré comme un élément clef de deux des quatre piliers de la Stratégie 2024 de l’Union africaine pour la science, la technologie et l’innovation en Afrique, à savoir le renforcement des compétences techniques et la promotion de l’innovation et de l’esprit d’entreprise. Plus important encore, les meilleures universités d’enseignement au monde sont généralement celles qui effectuent des recherches aux frontières de la production de connaissances et contribuent au développement de leurs communautés et entreprises régionales et nationales.
Si toutes les universités d’un pays ne sont pas le lieu d’une intense activité de recherche et d’innovation, l’existence d’universités qui promeuvent la recherche, l’innovation et l’esprit d’entreprise est importante pour le secteur scientifique, l’industrie et les gouvernements pour différentes raisons. Il s’agit, entre autres, de la quête de l’excellence dans l’enseignement et la recherche, du développement d’entreprises innovantes et compétitives, de la contribution à la réduction de la pauvreté et de la diversification des exportations. Ainsi, la promotion des universités entrepreneuriales en Afrique porterait directement sur la réduction de la pauvreté (objectif 1), la qualité de l’éducation (objectif 4), le travail décent (objectif 8), l’industrie et l’innovation (objectif 9) et les collaborations et partenariats (objectif 17). Les efforts déployés pour atteindre ces objectifs contribueront indirectement à la réalisation de presque tous les objectifs.
Cette séance abordera, entre autres, les sujets suivants :
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Les mesures que les gouvernements prennent pour assurer l’émergence, la promotion et la croissance des universités entrepreneuriales ; pour encourager les universités à inclure et à promouvoir l’esprit d’entreprise dans l’enseignement ; pour stimuler la recherche et l’innovation ; pour veiller à ce que les administrations, le personnel et les étudiants des universités soient soutenus et dotés de pouvoirs pour attirer des talents en matière d’entrepreneuriat du monde entier ; pour parvenir à l’excellence et impulser le développement dans leurs régions. -
Les mesures ou les efforts nécessaires pour renforcer les mécanismes institutionnels visant à promouvoir les innovations technologiques et non technologiques ainsi que l’esprit d’entreprise, afin de stimuler la création d’emplois et de richesses, d’améliorer la compétitivité commerciale et d’attirer les investissements grâce à l’enseignement supérieur, en particulier les universités -
Construire des universités entrepreneuriales en Afrique -enseignements tirés d’autres régions -
Construire des universités entrepreneuriales en Afrique -enseignements tirés de l’Afrique Intervenants
Deux représentants gouvernementaux
Deux représentants des universités
Deux représentants d’autres groupes d’intérêt
Concertation de haut niveau sur les technologies permettant d’améliorer les résultats en matière de soins de santé en Afrique : enseignements tirés de la pandémie de COVID-19
La pandémie de COVID-19 a mis en évidence certaines des faiblesses des systèmes de santé en Afrique. Au début de la pandémie, une majorité de pays africains n’avaient tout simplement pas la capacité de tester et de détecter le virus à l’origine du COVID-19. Leurs infrastructures sanitaires sont trop faibles pour répondre aux exigences d’une pandémie ; ils sont excessivement dépendants de sources extérieures pour la quasi-totalité des fournitures médicales et leur coordination et collaboration institutionnelles sont insuffisantes, ce qui a des répercussions sur l’efficacité et l’efficience de la prestation de services. Par exemple, peu de pays suivent l’évolution et l’émergence des différentes souches du virus, et encore moins participent à la découverte, au développement et à la production de vaccins et de traitements , et pourtant l’Afrique a une population majoritairement jeune et de plus en plus instruite.
Dans le même temps, les pays africains ont aussi fait preuve d’innovation dans leur réponse au COVID19 et ont souvent adapté des solutions technologiques pour résoudre les problèmes liés aux essais, à la recherche des contacts et à la production et à la fourniture d’équipements de protection individuelle. Plusieurs universités, entreprises et pôles d’innovation africains ont présenté et mis sur le marché des produits qui ont sauvé des vies et créé des emplois et de la richesse.
Cette séance se concentrera sur le bienêtre et la santé (objectif 3) ; elle examinera aussi les incidences positives et négatives sur l’éducation (objectif 4), sur la pauvreté (objectif 1) et sur les collaborations et partenariats (objectif 17) sous l’angle de la science, de la technologie et de l’innovation. Les questions à examiner pourraient inclure les moyens dont disposent les pays pour :
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Mobiliser et former un nombre suffisant de chercheurs dans tous les domaines scientifiques - des sciences naturelles, de la santé et de la médecine vétérinaire aux sciences humaines et sociales ; -
Stimuler la recherche, l’innovation et l’esprit d’entreprise ; -
Mettre en place l’infrastructure de recherche et de développement industriel nécessaire pour mettre rapidement sur le marché des solutions permettant de sauver des vies ; -
Concevoir des chaînes d’approvisionnement nationales et régionales fiables pour répondre aux besoins actuels et futurs en matière de soins de santé ; -
Améliorer le suivi des nouvelles menaces sanitaires dans le monde et en Afrique ; -
Assurer un partage efficace des informations ainsi que la coordination des services et la prestation de services ; -
Encourager et soutenir la coinvention, la co-innovation et la coprestation de services aux communautés les plus pauvres par les principaux acteurs dans les domaines de la science, de la technologie et de l’innovation. -
Technologies permettant d’accélérer la découverte, la production et la fourniture de médicaments et de vaccins - cas des vaccins contre le COVID-19 -
Renforcer les capacités africaines en matière de génie biomédical et d’entrepreneuriat Intervenants
Deux représentants gouvernementaux
Deux représentants du secteur
Deux représentants d’autres groupes d’intérêt
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| Table ronde sur le thème : « Faire de l’Afrique un pôle mondial de recherche et d’innovation »
L’Afrique possède la main-d’œuvre jeune et de plus en plus instruite qui connaît la croissance la plus rapide au monde et qui fréquente les secteurs de l’enseignement supérieur parmi ceux qui connaissent la plus forte croissance, passant de 2,2 millions d’étudiants universitaires en 1991 à environ 20 millions en 2015 ; elle comptait quelque 643 pôles technologiques en 2019, contre 422 en 2018. Le nombre et la taille des universités et des centres de recherche, ainsi que des entreprises technologiques, ont connu une croissance rapide durant la dernière décennie. L’Afrique dispose de tous les ingrédients clefs pour devenir un pôle mondial de recherche et d’innovation, ce qui peut stimuler la transformation du continent en un centre manufacturier de premier plan et un prestataire de services à valeur ajoutée. En dépit de la faiblesse des dépenses brutes du continent en matière de recherche-développement (0,4 % de son PIB en 2019, bien en dessous de la moyenne mondiale de 1,7 % et de l’objectif de 1 % fixé par l’Union africaine), les pays africains peuvent recourir à des stratégies qui ont fait leurs preuves dans d’autres régions et ailleurs en Afrique pour développer la recherche-développement, en particulier dans les entreprises et le secteur public, améliorer la qualité et le volume de l’éducation grâce à des partenariats et promouvoir l’innovation, l’esprit d’entreprise et l’acquisition de technologies dans les secteurs universitaire, gouvernemental et industriel.
Pour transformer l’Afrique en un pôle majeur de recherche et d’innovation pour le monde, les intervenants peuvent envisager différentes stratégies, telles que le renforcement des secteurs de l’enseignement supérieur (sur le modèle du projet 211 en Chine, qui vise à améliorer la qualité de l’enseignement, la recherche scientifique, la gestion et l’efficacité institutionnelle de 100 universités et de plusieurs disciplines pour le développement économique et social), des modèles de financement innovants (comme celui de la Fondation de recherche de Sao Paulo au Brésil, de la Fondation du Chili et du Fonds finlandais pour l’innovation - SITRA). Ils peuvent aussi explorer le rôle essentiel des accords dans les domaines de la science et de la technologie pour attirer les entreprises à forte intensité technologique (comme les centres d’industries aéronautiques au Maroc et l’industrie textile en Éthiopie) et l’importance des collaborations et alliances internationales (comme l’industrie spatiale en Afrique du Sud et les soins de santé au Kenya).
Présentations
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Modèles nationaux et régionaux de financement de la recherche et de l’innovation -
Infrastructures de recherche, de technologie et de développement industriel, incitations et stratégies de promotion Intervenants
Deux représentants gouvernementaux
Deux représentants d’universités
Deux représentants d’autres groupes d’intérêt
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| Messages clefs de la troisième session du Forum africain sur la science, la technologie et l’innovation |
| Présentation et reconnaissance d’équipes de jeunes innovantes sélectionnées dans le cadre du camp d’initiation (bootcamp) 2021 du Forum (trois à cinq équipes) |
| Lancement d’Origin
Origin représente un nouvel ensemble d’institutions qui se consacrent à la recherche interdisciplinaire et créent des espaces d’innovation qui se concentrent principalement sur le développement, la gestion et la commercialisation de produits (c’est-à-dire de biens et de services). Ces espaces rassembleront certains des meilleurs et des plus brillants chercheurs du continent et d’ailleurs, et de différentes disciplines, pour relever les nouveaux défis et saisir les nouvelles opportunités, anticiper et préparer l’avenir grâce à une large base de financement, un vaste ensemble de partenaires institutionnels, de collaborateurs et d’alliances des secteurs privé et public, un flux constant de jeunes experts et d’experts confirmés, innovants, intelligents et réputés, des liens solides avec le monde universitaire et l’industrie et de bonnes relations avec le public et la société en général. Par-dessus tout, elle doit disposer d’un noyau de pilotage ou de modalités de gouvernance solides et indépendants qui protègent et défendent la liberté de rêver, d’innover et de tirer les leçons des échecs comme des succès.
Ce segment verra la présentation du concept d’Origin - ses modalités institutionnelles, sa gouvernance, ses objectifs, ses bénéficiaires cibles et son potentiel pour transformer le paysage africain de la recherche et de l’innovation. Il comprendra également le lancement du concours Origin pour la recherche, l’innovation et la conception pour l’avenir de l’Afrique et du camp d’initiation (bootcamp) d’Origin pour les innovations et l’entreprenariat des jeunes.
Oratrices:
Reeta Roy, Présidente-directrice générale de la Fondation Mastercard (Canada)
Vera Songwe, Secrétaire générale adjointe de l’ONU et Secrétaire exécutive de la CEA
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| Segment de clôture
Vera Songwe, Secrétaire générale adjointe de l’ONU et Secrétaire exécutive de la CEA
Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, Ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique (Congo)
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